Emitouflé dans mes draps, à une heure
beaucoup trop tardive, il m’arrive de
trouver le sommeil en écoutant des vulgarisateurs bien plus doués que moi me
parler de corps célestes, d’espace et de
l’univers. Laissant divaguer mon esprit,
j’éprouve parfois de la tristesse à ne pas
avoir choisis une carrière d’explorateur
spatial étant plus petit.
Au détour d’un travail photographique
sur la saleté de mes écrans d’ordinateurs
et ceux des autres, j’ai finis par trouver
mes étoiles